Circuler au Liban |
Bus et location de voiture (de base), sont bon marché. La conduite est aisée, quoique parfois agitée, mais il faut rester prudent et vigilant envers chauffards et irrégularité des routes. Un véhicule tout terrain 4x4 est tout à fait superflu, même sur routes de montagne (quoiqu'en dise le MAE français). Quelques difficultés de circulation sont observées en hiver par temps de neige, comme en Europe. Respecter les barrages de police ou de l'armée. Rester courtois et tolérant.
Pour les liaisons interurbaines, les cars déservent les principales villes au départ de la gare routière de Beyrouth (station Charles Helou). Les cars du rond-point Cola assurent la liaison Beyrouth - Chtaura - Masna (frontière) - Damas TaxiPour un séjour de courte durée : le taxi (les taxis autorisés ont des plaques d'immatriculation rouges) loué à la course ou à la journée. Il ne faut pas oublier de convenir d'un prix de course AVANT le départ. Les "services" sauvages n'ont plus le droit de circuler. Les taxis populaires sont nombreux, et se partagent pour réduire les coûts.Listes de taxis : Auto
Tour - Location de voiturePour plus d'autonomie. Des agences de location de voitures présentes partout en ville, sont aussi présentes à l'aéroport. Compter un minimum de 30 US$ par jour (25 US$ en période creuse et en discutant le prix, surtout si le véhicule a plus de 20.000km au compteur). Les véhicules à boite de vitesse automatique sont les plus fréquents et les plus pratiques lors des embouteillages, et pour téléphoner avec un portable, bien qu'il ne soit pas permis de téléphoner en conduisant. En ville le stationnement n'est pas trop difficile: soit gratuitement dans la rue, soit dans un parking privé (forfait de1000 à 2000 LL). Certaines rues sont équipées de parcmètres. Prévoir un peu plus de difficultés dans le centre de Beyrouth. Liste d'agences de location de voiture : Europcar/Lenacar - Avis - Hertz -
et aussi Lerecom - Thrifty - Capital - Hala - Arabia - Vista - Lebanon
Taxi - Prince - Ritz - More - Pico - National - Essence : coutait 17 000 LL par gallon, soit 850 LL (0,65 ConduiteAu Liban, la conduite est à droite, comme en France. La circulation routière s'est beaucoup améliorée depuis plusieurs années : les trous dans les routes sont plus petits, l'éclairage des rues est beaucoup plus fréquent, des tronçons d'autoroute ont été ouverts (vers Tripoli, et Saida), des panneaux de signalisation ont été posés (indications en alphabets arabe et occidental sur les grands axes), les automobilistes sont plus raisonnables, les épaves roulantes sont moins nombreuses. Les voitures à vitesse automatique (sans levier de vitesses, pas d'embrayage) sont fréquentes.Toutefois il faut conduire prudemment, surtout dans les zones en travaux pour lesquelles le plan de circulation change fréquemment. Se méfier aussi des premières pluies de l'automne (fin octobre) : pendant tout l'été, la poussière, la terre et les écoulements de graisse automobile se sont accumulés sur les routes, qui deviennent très glissantes lors des premières pluies. Il faut aussi un peu de patience aux abords des grands chantiers routiers (moins fréquents depuis 2000) : embouteillages d'été chroniques (la climatisation est alors utile). Des équipements spéciaux peuvent être nécessaires en hiver, à partir du mois de novembre, en montagne: neige et verglas. La route qui relie les Cèdres à la Béquaa était encore coupée début mai 1998. En hiver, en montagne, et par temps de neige, redoubler de prudence : verglas, grosse quantité de neige qui tombe rapidement, brouillard vraiment très épais. Préférer alors la circulation entre 9h et 16h. PoliceLa circulation est dirigée par la police (casquette et tenue gris sombre), la gendarmerie (treillis de camouflage gris clair, béret rouge vif), ou par des motards de la police (casque blanc, tenue grise moto américaine). Les feux de circulation sont respectés lorsqu'il y a beaucoup de circulation (et donc un agent de police). Parcmètres et parfois procès verbaux en ville.Barrages de l'arméeLes postes de garde libanais ou syriens sont colorés selon les drapeaux respectifs : rouge et blanc pour les barrages libanais. L'usage est de ralentir ou de marquer l'arrêt (et d'allumer le plafonnier la nuit) lorsque le barrage est gardé. Rarement (Liban-Sud), le passeport peut être demandé, mais ne JAMAIS s'en séparer.La probité de l'Armée et de la Gendarmerie Libanaise (rouge et blanc) est à souligner. Par contre, souvenirs de mauvais moments auprès des autres entités d'occupation arabes, encore présentes au Liban, dans les années 90. Le bateauNe sert que pour les loisirs : promenade en mer au départ de la nouvelle marina, ou de Byblos (=Jbeil), Jounieh, Saïda ou Tripoli, barque à fond transparent à Tyr (= Sour). Il y a de la pêche artisanale de nuit dans la baie de Jounieh (on voit alors plein de lucioles sur la mer...). Il existait une liaison par bateau entre Chypre et le Liban, peut-etre encore en activité?Le trainIl n'y a plus de chemin de fer au Liban, malgré les restes visibles de voies ferrées (et l'existence d'un projet de nouvelle ligne ?).L'avionLe pays est trop petit pour justifier des liaisons intérieures aériennes. Cependant, il est possible d'utiliser l'avion de tourisme privé, au départ de Beyrouth, pour le sport ou les photographies aériennes. Eviter les survols interdits, la DCA est encore active.Permis de conduire internationalPour obtenir une équivalence internationale en France, il faut en faire la demande sur place à la préfecture ou sous-préfecture du domicile sur présentation de :
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